Poésie dédiée à toutes les victimes des guerres
J’ai passé les rues vides de la ville
Dans un matin claire et tranquille,
Et j’ai revu les ombres d’hier
Parmi les pierres et leur poussier.
Hier je rencontrais des enfants sur les rues
Dans un temps bien connu,
Hier j’entendais du bruit
Dans cette ville interdite.
Hier les jardins étaient en fleurs
Pleines des leurs éclats et leur odeur,
Et tout était en harmonie
Dans cette ville interdite.
Hier les oiseaux fêtaient la paix
Comme dans un rêve éloigné,
Aujourd’hui leurs nids sont vides
Dans cette ville interdite.
Hier je voyais un ciel clair
Aujourd’hui j’entends des bombardiers,
Hier je rencontrais la vie
Dans cette ville interdite
(on va continuer).